Informations :
TITRE ORIGINAL : Ao no 6-gou
ANNÉE DE PRODUCTION : 1998
STUDIO : GONZO
GENRE : Action, Espace & Sci-Fiction
AUTEUR : Ozawa Satoru
TYPE ET DURÉE : 4 OVA 30 mins)
Synopsis :
Dans un futur indéterminé, le réchauffement de la planète entraîna la fonte des glaces polaires. Mais ce réchauffement planétaire n'était pas le seul danger qui nous menaçait : Un groupe de créatures aquatiques mené par le scientifique Zorndyke ont apparemment déclaré la guerre à l'humanité !
Notre dernier espoir repose maintenant sur une machine de haute technologie : le Blue Sub 6 et son équipage !
Tetsu et Mayumi arrêteront-ils à temps l'armée de Zorndyke ?
bonsoir je voulais vous prévenir que tous les lien de téléchargement pour l’épisode 04 sont mort ^^’
Salut et Merci, gardez le bien au chaud vous êtes un des rares a l’avoir encore disponible et il vaut le coup d’être vu, c’est le Premiers mangas des studios Gonzo >>> Critique de l’anime blue submarine no.6 petit rappel avant d’entamer la critique de cette page d’histoire pour gonzo. jusqu’alors, le jeune studio gonzo était sous-traitant pour d’autres ou réalisait des vidéos de jeux vidéos. mais en 1997, il décide de faire ses premiers pas dans la grande cour de la japanime. ils ne choisissent pas une œuvre connue, et encore moins consensuelle, mais un manga qui est autant un pamphlet écologiste que tolérant ao no roku go. il frapperont les esprits par l’utilisation de cgi (le studio est alors pionner à cette échelle) et des choix artistiques quitte à ne pas plaire au grand public (déjà). il est certain qu’au regard des productions actuelles la tech* est encore imprécise, notamment pour l’incrustation des effets 3d. mais les critiques avait alors salué ces oavs pour ce qu’ils étaient une révolution graphique et l’acte naissance d’un studio majeur de la japanimation.un petit mot sur l’édition française. coté image, c’est impeccable, dybex – alors dynamic vision – a sans doute bénéficié de masters impeccables. les choses se gâtent coté audio. la bande sonore japonaise est bien restituée mais la piste française souffre d’un défaut de spatialisation évident ; la perte est considérable. pire, quand bien même je suis loin de parler couramment japonais, je trouve la traduction très libre dans les sous-titres. ne parlons même pas doublage vf ou les acteurs-doubleurs manquent de conviction, c’est plat. d’un autre coté, 2001, année de la licence française des oavs, c’est presque la préhistoire de la japanimation en france.en définitive, blue submarine n°6 est une œuvre essentiellement divertissante – et pas trop mal réussie de ce coté là – mais dont la véritable richesse se niche dans les moments plus calmes et le message loin des conventions qui vaut le détour. on sent encore les balbutiements d’un studio encore assez novice mais déjà prometteur.
par spiritofsilence1 – de afloplouf sur animekun